Tsé, du café pas bon...

Y'a une chose qui me dérange vraiment au bureau où je travaille.
Ce ne sont pas les gens.
Ce n'est pas la décoration.
Ce ne sont pas les clients mécontents, ni les faxs.
Ce n'est pas mon bureau (ok, peut-être un peu mon ordinateur désuet mais encore là, c'est pas trop pire).
Ce n'est pas non plus la luminosité générale, ni mon casque d'écoute.

C'est le café.
Et ça, c'est vraiment triste, ne pas aimer le café qu'on boit 40h par semaine.
*Soupir*

Grossièreté

Aujourd'hui, je me suis fait servir au dépanneur chinois du coin par un mec quintagénaire qui se taillait grassement les ongles sals sans vergogne en attendant que ma transaction interac s'effectue.

Quand même! On n'a plus le service à la clientèle qu'on avait...

Dans un néant positif

(Est-ce que ça s'annule, ou ça s'additionne? Ou peut-être que ça se multiplie?)

Commencer un projet, c'est toujours un peu énervant. C'est comme l'angoisse de la page blanche pour les auteurs. Ou le trac pour les comédiens. Surtout quand c'est un projet d'exploration d'un medium nouveau, et quand on travaille avec un groupe de personnes inconnues.


Ouais, j'ai eu une réunion de pré-prod pour un nouveau projet hier soir... c'est MALADE! C'est vraiment un projet magnifique, et j'ai hâte de commencer à travailler (enfin!).

Je me sens au bord du néant des possibilités; c'est le moment où les engrenages du côté créatif se dérouillent et commencent à fonctionner, de façon inconstante et à tâtons.

C'est le moment où tout est bon et mauvais à la fois.
C'est le moment où on est libre.

Juste avant de plonger dans les détails, les contraintes, les concessions, les demandes des autres départements...
Mais si c'est bon d'avoir des directions, c'est bon d'avoir des contraintes aussi. Ça travaille la créativité. Le fait d'y arriver, par usage d'un peu d'ingéniosité.

*Expiration satisfaisante*
Aah.

Je me sens bien. Enfin.

Reality Check

Les relations interpersonnelles, c'est pas toujours simple.

C'est tout ce que j'avais à dire sur le sujet.

10 faits

1-De la bavette de bœuf sur le barbecue, c'est comme Dieu mais comestible.

2-Du chocolat à la menthe, ça goûte vraiment Noël.

3-Dance Dance Revolution, c'est vraiment hot.

4-Trop, c'est comme pas assez.

5-Une douche chaude c'est comme Dieu mais plus mouillé.

6-Se faire annuler un rendez-vous chez un médecin spécialiste qu'on attend depuis 6 mois, c'est vraiment pas hot.

7- Les partys de Noël de bureau, c'est pas vrai ce qu'on raconte là-dessus. :P

8- C'est vraiment excellent du Our Lady Peace. Du Frank Sinatra aussi.

9-Faut être vraiment discipliné pour envoyer des cartes de Noël.

10-Du Gin Tonic, c'est vachement bon.

Idiotie

Entendu d'un ami et collègue de travail, l'an dernier: "On est tous l'idiot de quelqu'un d'autre."

Pensez-y bien. ;)

Fanatique de la douche

J'ai envie de créer une nouvelle religion: celle de la douche chaude.

Est-ce qu'il y a vraiment quelque chose de plus réconfortant qu'un vingt minutes bien compté passé sous une douche presque bouillante après une longue journée hivernale?

(Bon, ok, un chocolat chaud doucement préparé par maman...)

Quand même! Je crois fermement en la paix intérieure que ça procure. M'enfin, c'est ce à quoi j'ai pensé durant ces longues minutes de chaleur exquise dans ma douche neuve.

J'ai moins foi en mon futur compte d'Hydro-Québec, par contre...

Première neige officielle sous un gouvernement libéral

Ben oui. C'est libéral qui a gagné. Bouh.
C'est tout ce que je vais dire là-dessus, parce que j'ai même pas le goût de m'étendre sur le sujet. Ni sur la politique en général, puisque tout le monde a un haut-le-coeur chaque fois qu'on introduit le sujet. Et moi aussi d'ailleurs. Ma seule victoire d'hier: l'ADQ s'est fait rentrer dedans par le PQ, avec raison vu leur état lattent depuis deux ans (désolée pour leurs partisans, mais c'est vrai...).
Bon. C'est fini; on a voté (en petit nombre mais bon...), et on assume maintenant.

*Je lève les yeux au-dessus du cubicule qui m'enveloppe et regarde par la grande fenêtre*

...Tout est blanc! C'est comme si la vitre des fenêtres du bureau était devenue opaque, ou bien si on avait lancé du lait de façon égale partout en même temps. C'est totalement enveloppant. (Ça me rappelle qu'il faudrait bien que je m'achète des pantalons de neige cette année... et que je me dis ça à chaque année, en fait...)

Voilà. L'hiver est arrivé. (J'espère que mon voisin va continuer à déblayer mon perron pour quelques temps encore parce que j'ai pas encore acheté de pelle et ça me tente vraiment pas d'aller chez Home Depot ce soir...)

14:34 : Le temps de retourner travailler.

Encore 16 jours de magasinage

Et le décompte recommence comme à chaque année.

Rien de plus excitant que Noël, non? C'est comme un summum de toute l'année, sauf qu'il fait froid.

Non mais c'est vrai, c'est une formule gagnante: on a quelques jours de congé (voire des semaines pour quelques chanceux étudiants), des partys assez souvent pour s'en lasser, de la bonne bouffe en quantité industrielle, de la famille et des amis qui débarquent de partout, des voyages, des cadeaux à la tonne (ou pas!), etc. C'est pas génial, ça?

Un ami m'a envoyé le CD de Noël de Frank Sinatra cette semaine (okay, OUI je suis anti-download, mais là... il est déjà mort!), et ça m'a donné un grand coup d'ambiance en pleine gueule: c'est vraiment bientôt Noël! Je ne l'avais pas encore réalisé cette année.

Eh voilà, c'est fait. J'ai mis un calendrier avec le décompte des jours sur mon billboard au bureau, sous les lumières multicolores qui clignottent tranquillement. Aah.